Etoile du matin

Appendice B

Mise en ligne Jun 05, 2014 par Etoile du Matin dans Le Retour d'Elie
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Appendice B — Citations intéressantes d’Ellen G. White

 

Alors que vous lirez les citations suivantes, observez la difficulté éprouvée pour trouver un troisième être Divin impliqué. Remarquez soigneusement la manière dont Ellen White décrit le Père et le Fils.

 

1. Relation du Père et du Fils

« Je vis un trône, et sur ce trône étaient assis le Père et le Fils. J’admirai le visage de Jésus et sa personne adorable. Mais je ne pouvais voir le Père, car une nuée glorieuse le couvrait. Je demandai à Jésus si le Père avait la même forme que lui. Il me répondit par l’affirmative, mais je ne pouvais pas le voir, car, ajouta-t-il, « si tu voyais une fois la gloire de sa personne, tu cesserais d’exister. » » (Premiers Ecrits, p. 54)

« Le Souverain de l’univers n’était pas seul dans l’accomplissement de son œuvre de bienfaisance. Il avait un associé – un collaborateur capable d’apprécier ses desseins et de partager la joie qu’il trouve dans le bonheur de ses créatures. « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. » Jean 1 : 1, 2. Christ, la Parole, le seul engendré de Dieu, était un avec le Père éternel – un par sa nature, par son caractère, par ses desseins – le seul être qui pouvait entrer dans tous les conseils de Dieu, et partager tous ses desseins. « On l’appellera le Conseiller admirable, le Dieu fort, le Père d’éternité, le Prince de la Paix. » Esaïe 9 : 6. « Celui dont l’origine remonte aux temps anciens, aux jours éternels. » Michée 5 : 2. Et le Fils de Dieu déclare à Son sujet : « Moi, la Sagesse,… L’Eternel m’avait auprès de lui quand il commença son œuvre, avant même ses créations les plus anciennes. J’ai été formée dès l’éternité, dès le commencement, dès l’origine de la terre… Quand il posait les fondements de la terre, j’étais auprès de lui, son ouvrière. J’étais ses délices tous les jours, et sans cesse je me réjouissais en sa présence. » (Proverbes 8 : 22-30) (Patriarchs and Prophets, p. 34).

« Le Roi de l’univers réunit les armées célestes pour leur faire connaître la vraie position de son Fils et le caractère de ses relations avec tous les êtres créés. Le Fils de Dieu partageait le trône du Père, et la gloire de celui qui est éternel, et existe de lui-même, entourait les deux. Autour du trône se rassembla, par « myriades de myriades et milliers de milliers », (Apocalypse 5 : 11) la foule innombrable des saints anges, placés dans l’ordre de leur rang, à la fois ministres et sujets, mais tous nimbés de la gloire dont rayonne le trône de la Divinité. Devant cette multitude, le Roi déclara que personne, si ce n’est Christ, le Seul Engendré de Dieu, n’était admis à entrer pleinement dans ses conseils, et que c’est à lui qu’était confiée l’exécution des desseins grandioses de sa volonté (Patriarchs and Prophets, p. 36).

« Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son seul Fils engendré, » – pas un fils par création, comme l’étaient les anges, ni un fils par adoption, comme l’est le pécheur pardonné, mais un Fils engendré selon l’empreinte de la personne du Père, et dans tout l’éclat de sa majesté et de sa gloire, un [être] égal à Dieu en autorité, en dignité, et en perfection divine. En lui habitait corporellement toute la plénitude de la Divinité (Signs of the Times, 30 mai, 1895).

« La voix de la nature témoigne de Dieu, mais la nature n’est pas Dieu. Comme toute son œuvre créée, elle rend simplement témoignage à la puissance de Dieu. La Divinité est l’auteur de la nature. Le monde naturel ne possède, en lui-même, aucune puissance si ce n’est celle que Dieu accorde. Il y a un Dieu personnel, le Père ; il y a un Christ personnel, le Fils. Et « après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils ; il l’a établi héritier de toutes choses ; par lui il a aussi créé l’univers » (The Review and Herald, 8 novembre 1898).

 « Le Seigneur Jésus-Christ, le seul Fils engendré du Père, est véritablement Dieu en infinité, mais non en personnalité » (The Upward Look, p. 367).

« Dieu est le Père du Christ ; le Christ est le Fils de Dieu. Au Christ a été donnée une position élevée. Il a été fait l’égal du Père. Tous les conseils de Dieu sont ouverts à son Fils » (Témoignages pour l’Eglise, vol. 8, p. 318).

« Le Seigneur Jésus-Christ, le divin Fils de Dieu, a existé depuis l’éternité en tant que personne distincte, et cependant une avec le Père. Il était la gloire surpassant toute autre dans le ciel. Il commandait aux intelligences célestes, et était en droit de recevoir l’hommage de l’adoration de la part des anges. Ceci ne constituait pas une usurpation à l’encontre de Dieu. « L’Eternel m’a possédée au commencement de sa voie, avant ses œuvres d’ancienneté. Dès l’éternité, je fus établie, dès le commencement, dès avant les origines de la terre. Quand il n’y avait pas d’abîmes, j’ai été enfantée, quand il n’y avait pas de sources pleines d’eaux. Avant que les montagnes fussent établies sur leurs bases, avant les collines, j’ai été enfantée, lorsqu’il n’avait pas encore fait la terre et les campagnes, et le commencement de la poussière du monde. Quand il disposait les cieux, j’étais là ; quand il ordonnait le cercle qui circonscrit la face de l’abîme » (Proverbes 8 : 22-27) » (Selected Messages, vol. 1, p. 247).

 

2. Exaltation du Fils

« Le souverain Créateur réunit les armées célestes, afin de pouvoir conférer des honneurs particuliers à son Fils en présence de tous les anges. Le Fils était assis sur le trône avec le Père, et la multitude céleste des saints anges était assemblée autour d’eux. Le Père fit alors savoir qu’il avait lui-même ordonné que Christ, son Fils, soit son égal, afin que la présence de son Fils soit considérée comme Sa présence même. Il fallait obéir à la parole du Fils aussi promptement qu’à la parole du Père. Il avait investi son Fils d’autorité pour commander les armées célestes. Son Fils devait tout spécialement œuvrer en union avec lui dans la création anticipée de la terre et de tout être vivant qui allait y habiter. Son Fils exécuterait sa volonté et ses desseins, mais ne ferait rien de sa propre initiative. La volonté du Père s’accomplirait en lui. ...Christ avait fait partie du conseil spécial de Dieu concernant ses plans, tandis que Satan n’avait pas été mis au courant. Il ne comprenait pas les plans de Dieu, et n’était pas en droit de les connaître. Mais Christ fut reconnu souverain du Ciel, d’une puissance et d’une autorité comparables à celles de Dieu lui-même » (The Spirit of Prophecy, vol. 1, p. 17, 18).

« Un conflit éclata parmi les anges. Satan et ses disciples cherchaient à réformer le gouvernement de Dieu. Ils étaient mécontents et irrités de ce qu’ils ne pouvaient pas pénétrer la sagesse insondable de Dieu ni deviner les desseins qu’Il avait formés en exaltant son Fils Jésus, et en lui conférant un pouvoir illimité. Ils se révoltèrent contre l’autorité du Fils » (Idem, p. 19).

« L’élévation du Fils de Dieu à l’égal du Père fut représentée comme une injustice envers Lucifer qui avait soi-disant reçu le droit à être révéré et honoré. Si ce prince des anges était admis à occuper sa véritable position élevée, ce serait à l’avantage de toute l’armée du ciel ; car son but était de procurer à tous la liberté » (Patriarchs and Prophets, p. 37).

« Il fut donné à Christ une position élevée. Il fut rendu égal au Père. Tous les conseils de Dieu sont ouverts à Son Fils » (Testimonies for the Church, vol. 8, p. 268).

 

3. Un courant de vie pour l’univers entier

« Mais laissons de côté ces manifestations moins importantes pour contempler Dieu en Jésus. En regardant à Jésus nous comprenons que c’est la gloire de notre Dieu de donner. « Je ne fais rien de moi-même », affirmait le Christ ; « le Père qui est vivant m’a envoyé, et… je vis par le Père. » « Je ne cherche pas ma gloire », mais la gloire de Celui qui m’a envoyé. Jean 8 : 28 ; 6 : 57 ; 8 : 50 ; 7 : 18. Ces paroles mettent en évidence le grand principe qui est la loi de la vie de l’univers. Le Christ a tout reçu de Dieu, et il l’a pris pour le donner. Il en est ainsi du ministère qu’il exerce dans les parvis célestes en faveur de toutes les créatures : par l’intermédiaire du Fils bien-aimé la vie du Père se répand sur tous ; elle retourne par l’intermédiaire du Fils sous forme de louanges et de joyeux service, telle une vague d’amour, vers la grande Source universelle. Ainsi à travers le Christ le circuit bienfaisant est complet, représentant le caractère du grand Donateur, la loi de la vie » (Jésus-Christ, p. 11).

« En nous donnant Son Esprit, Dieu se donne Lui-même, faisant de Lui-même une fontaine d’influences divines offrant santé et vie au monde » (Testimonies for the Church, vol. 7, p. 273).

« Dieu a donné son Fils afin de communiquer Sa propre vie [la vie du Père] à l’humanité. Christ déclare : “ je vis par le Père ” ma vie et la sienne étant une » (« A Call to the Work » The Home Missionnary, 1er juillet 1897).

« Que l’exemple le plus éclatant que le monde n’ait jamais connu soit votre exemple, plutôt que les hommes les plus grands et les plus instruits de cette époque, qui ne connaissent pas Dieu, ni Jésus-Christ qu’il a envoyé. Le Père et le Fils seuls doivent être exaltés » (The Youth’s Instructor, 7 juillet 1898).

 

4. Position de Lucifer

« Le Seigneur m’a montré qu’il y eut un temps où Satan fut un ange honoré dans le ciel, après Jésus-Christ » (Spiritual Gifts, vol. 1, p. 17).

« Avant sa rébellion, Satan était dans le ciel un ange élevé, juste en dessous du Fils bien-aimé de Dieu en honneur » (The Spirit of Prophecy, vol. 1, p. 17).

« Satan, le chef des anges déchus avait auparavant une position élevée dans le Ciel, juste en dessous de Christ en honneur » (The Review and Herald, 24 février 1894, par. 33).

« Satan connaissait très bien la place d’honneur dans laquelle se trouvait Christ au ciel en tant que Fils de Dieu, le bien-aimé du Père » (The Review and Herald, 3 mars 1874, par. 21).

 

5. La Création

« Jésus avait été uni au Père en créant le monde » (Testimonies for the Church, vol. 2, p. 209).

« Le Père et le Fils s’engagèrent dans l’œuvre grandiose, merveilleuse qu’ils avaient planifiée, celle de créer le monde. En sortant des mains du Créateur, la terre était d’une beauté magnifique » (The Spirit of Prophecy, p. 24).

« Dès que la terre fut créée et peuplée d’animaux , le Père et le Fils mirent à exécution le dessein qu’ils avaient conçu avant la chute de Lucifer : créer l’homme à leur image. Ils avaient collaboré dans la création de la terre et de toute créature vivante. Alors Dieu dit à son Fils : « Faisons l’homme à notre image » (Idem, vol. 1, pp. 24, 25).

« Lorsque Dieu dit à son Fils : « Faisons l’homme à notre image », Satan fut jaloux de Jésus » (Premiers Ecrits, p. 145).

« Au commencement, après avoir achevé l’œuvre de la création, le Père et le Fils s’étaient reposés le jour du Sabbat » (Jésus-Christ, p. 771).

« Tout l’univers observa avec un intérêt intense le conflit qui devait décider de la position d’Adam et Eve. Avec quelle attention les anges écoutèrent les paroles de Satan, auteur du péché, lorsqu’il mit ses propres idées au-dessus des commandements de Dieu et chercha à annuler la loi de Dieu par un raisonnement trompeur ! Avec quelle anxiété ils attendirent de voir si le saint couple serait trompé par le tentateur, s’il succomberait à ses artifices ! Ils se demandaient en eux-mêmes si le saint couple transférerait sa foi et son amour pour le Père et le Fils à Satan ? Accepterait-il ses erreurs comme étant la vérité ? Ils savaient qu’il pourrait soit s’abstenir de prendre du fruit, en obéissant à l’injonction expresse de Dieu, soit violer l’ordre formel de son Créateur » (SDA Bible Commentary, vol. 1, p. 1083).

 

6. Le Plan du Salut

« L’autorité du Fils de Dieu suivait de près celle du grand Législateur. Il savait que sa vie seule pouvait servir de rançon pour l’homme déchu » (The Spirit of Prophecy, vol. 2, p. 9).

« La tristesse remplit le ciel lorsqu’il devint évident que l’homme était perdu, et que le monde créé par Dieu allait maintenant se peupler d’êtres mortels, voués à la misère, à la maladie et à la mort. Nul ne pourrait y échapper ; toute la famille d’Adam devrait mourir. Je vis alors Jésus ; sur son visage se lisait une expression de sympathie et de tristesse. Je le vis s’approcher de la lumière éblouissante qui entourait le Père. L’ange qui m’accompagnait me dit : « Il a un entretien secret avec son Père. » L’anxiété des anges était alors intense. Trois fois Jésus pénétra dans cette lumière éclatante ; la troisième fois qu’il se sépara du Père nous pûmes voir sa personne. Son visage était calme, ne reflétant aucune anxiété, aucun souci, aucune affliction. Il s’en dégageait une expression de bonté impossible à décrire. Il fit alors savoir aux armées angéliques qu’il y avait un moyen de salut pour l’homme pécheur. Il avait plaidé auprès du Père. …Alors une joie inexprimable remplit le ciel. L’armée angélique entonna un chant de louange et d’adoration. Les messagers du ciel firent résonner leurs harpes et chantèrent sur un ton plus élevé qu’auparavant, à cause de la grande miséricorde et de la condescendance de Dieu, qui avait consenti à ce que son Fils bien-aimé mourût pour une race rebelle. Puis ce furent des chants de louange et d’adoration pour célébrer le renoncement et le sacrifice de Jésus, qui consentait à abandonner le sein du Père pour une vie de souffrance et d’angoisse, qui le conduirait à l’ignominie et à la mort pour donner la vie à d’autres. L’ange me dit : « Pensez-vous que ce soit sans luttes que le Père ait consenti à donner son Fils bien-aimé ? Non, non. » Ce n’est pas sans luttes, en effet, que Dieu dut décider ou de laisser périr l’homme coupable ou de livrer à la mort son Fils chéri » (Premiers Ecrits, p. 126-127). [Note : Le Père a-t-il réellement lutté ou jouait-il un rôle face aux anges ?]

« Dieu devint un avec l’homme lorsque, dans le conseil entre le Père et le Fils dans le ciel, il fut décidé que si l’homme abandonnait son allégeance, le Fils de Dieu serait son Rédempteur et le restaurerait à l’image morale de Dieu » (The Ellen G. White 1888 materials, p. 869).

« Par Christ fut accomplie l’œuvre sur laquelle reposait la réalisation du plan Divin, en accord avec les conseils de la Divinité. Dans un conseil avec Son Fils, le Père résolut d’éprouver la famille humaine afin de voir si elle se laisserait séduire par les tentations de Satan ou si elle ferait de Christ sa justice, et vivrait, gardant les commandements de Dieu. Dieu donna à Son Fils tous ceux qui seraient vrais et loyaux. Christ s’engagea à les racheter du pouvoir de Satan, au prix de Sa propre vie. “Il a plu à l’Eternel de le briser par la souffrance… Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, il verra une postérité et prolongera ses jours ; et l’œuvre de l’Eternel prospérera entre ses mains. A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards ; par sa connaissance mon serviteur juste justifiera beaucoup d’hommes, et il se chargera de leurs iniquités” [Esaïe 53 : 10, 11] » (Lettre 126 à Kellogg, 1898, MS vol. 21, p. 54 ; Manuscript Releases, vol. 21, pp. 54, 55).

« Le Père Eternel, qui ne peut changer, donna son seul Fils engendré, arracha de son sein Celui qui est l’empreinte même de Sa personne, et l’envoya sur la terre pour révéler l’ampleur de Son amour pour l’humanité » (The Review and Herald, 9 juillet 1895, par. 13).

« Depuis la chute d’Adam, toute la communication échangée entre le ciel et la terre est passée par le Christ » (The Kress Collection, p. 126).

 

7. Le Consolateur ; le Saint Esprit

« Encombré de l’humanité, Christ ne pouvait pas être personnellement en tous lieux ; c’est pourquoi il était avantageux pour eux qu’Il les quitte, qu’Il aille vers son Père, et qu’Il envoie l’Esprit Saint pour qu’il soit son successeur sur la terre. L’Esprit Saint est Lui-même, dépouillé de la personnalité humaine, et indépendant de celle-ci. Il allait se représenter lui-même comme l’Omniprésent, partout présent par Son Esprit Saint » (Manuscript Releases, vol. 14, p.23).

« Il n’est pas essentiel pour vous de connaître, et de pouvoir définir exactement ce qu’est l’Esprit Saint. Christ nous dit que l’Esprit Saint est le Consolateur, et le Consolateur est le Saint-Esprit, “l’Esprit de vérité, que le Père enverra en Mon nom.” “Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre Consolateur, afin qu’il demeure éternellement avec vous, l’Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu’il ne le voit point et ne le connaît point ; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous” [Jean 14 : 16, 17]. Ceci se réfère à l’omniprésence de l’Esprit du Christ, appelé le Consolateur. A nouveau Jésus dit : “J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les porter maintenant. Quand le Consolateur sera venu, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité” [Jean 16 : 12, 13]. Il y a de nombreux mystères que je ne cherche pas à comprendre ou à expliquer ; ils sont trop élevés pour moi, et trop élevés pour vous. Pour certains de ces sujets, le silence est d’or. La piété, la consécration, la sanctification de l’âme, du corps et de l’esprit – voici ce qui est essentiel pour nous tous. “La vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ.” » (Manuscript Releases, vol. 14, p. 179, italiques ajoutés).

« Le Sauveur est notre Consolateur. Cela, j’en ai fait l’expérience » (Manuscript Releases, vol. 8, p. 49).

« Lorsque, par la foi nous regardons à Jésus, notre foi perce l’obscurité et nous adorons Dieu pour l’immense amour qu’Il a manifesté en nous donnant Jésus le Consolateur » (Manuscript Releases, vol. 19, pp. 297, 298).

« La raison pour laquelle les églises sont faibles, malades et prêtes de mourir, est que l’ennemi y a introduit des influences de nature décourageante à porter pour des âmes tremblantes. Il a cherché à leur faire perdre de vue Jésus comme étant le Consolateur, celui qui les reprend, les avertit, et les réprimande » (The Review and Herald, 26 août 1890).

« L’influence du Saint Esprit est la vie de Christ dans l’âme » (The Review and Herald, 26 octobre 1897).

« L’enseignant doit être baptisé du Saint Esprit. Ainsi, la pensée et l’esprit de Christ sera en lui, et il confessera Christ dans une vie spirituelle et sainte » (The Review and Herald, 9 février 1892).

« Le Saint Esprit est l’Esprit de Christ ; il est Son représentant. Tel est l’agent divin qui convainc les cœurs » (Manuscript Releases, vol. 13, p. 313).

« Mais l’homme peut garder les commandements de Dieu uniquement lorsqu’il est en Christ et que Christ est en lui. …Nul ne peut garder la loi de Dieu à moins d’aimer Celui qui est l’unique engendré du Père. Et, il est certain que ceux qui l’aiment exprimeront cet amour au moyen d’une obéissance constante et volontaire. Et tous ceux qui aiment Christ seront aimés du Père, et il se manifestera à eux. Dans toutes leurs urgences et leurs perplexités ils trouveront en Dieu un soutien.

« Cependant, les disciples eux-mêmes éprouvaient des difficultés à comprendre les paroles du Christ. Que Christ puisse se manifester à eux, et cependant être invisible au monde, était un mystère pour eux. Ils ne pouvaient comprendre les paroles de Christ dans un sens spirituel. Ils pensaient à une manifestation extérieure, visible. Ils ne pouvaient assimiler le fait que la présence de Christ soit avec eux, tout en restant invisible au monde. Ils devaient encore apprendre que la vie spirituelle intérieure, parfumée par l’obéissance de l’amour, leur donnerait la puissance spirituelle dont ils avaient besoin » (The Signs of the Times, 18 novembre 1897, italiques ajoutés).

« La sève du cep, venant des racines, est diffusée aux sarments, leur apportant la croissance et produisant des fleurs et du fruit. De même en est-il de la puissance vivifiante du Saint Esprit, procédant du Christ, et impartie à chaque disciple. Elle se répand dans l’âme, transforme les motivations et les affections, les pensées les plus secrètes, et fait croître le précieux fruit des œuvres saintes. La vie atteste l’union avec le véritable Cep vivant » (The Spirit of Prophecy, vol. 3, p. 418).

« Qu’ils [les croyants en la vérité] remercient Dieu pour Sa grande miséricorde et qu’ils soient bons les uns envers les autres. Ils ont un Dieu et un Sauveur ; et un Esprit – l’Esprit de Christ – qui va amener l’unité dans leurs rangs » (Testimonies for the Church, vol. 9, p. 189).

« Oui, Christ est devenu l’intermédiaire de la prière entre l’homme et Dieu. Il est également devenu l’intermédiaire de la bénédiction entre Dieu et l’homme. Il a uni la divinité à l’humanité. Les entrevues et les soutiens de Dieu en notre faveur sont sans limites » (The Signs of the Times, 14 avril 1909). [Note : Le dictionnaire Webster dit que l’intermédiaire est “l’espace ou la substance au travers duquel passe ou bouge un corps à quelque point que ce soit.”]

« Des deux oliviers, l’huile était déversée dans les conduits en or jusqu’au chandelier lui-même, et de là dans les lampes qui éclairaient le sanctuaire. C’est ainsi que par le canal des êtres saints qui se tiennent dans la présence de Dieu, Son Esprit est imparti aux instruments humains consacrés à son service. La mission des deux oints est de transmettre au peuple de Dieu la grâce qui, seule, peut faire de sa parole une lampe à nos pieds et une lumière sur notre sentier. “Ce n’est point par la puissance ou par la force, mais c’est par mon Esprit que s’accomplira cette œuvre, a dit l’Eternel des armées.” Zacharie 4 : 6. » (Christ’s Object Lessons, p. 408).

« Dans cette vision, les deux oliviers “qui se tiennent devant le Seigneur” déversent leur huile par des conduits d’or dans le vase du chandelier. C’est ainsi que sont entretenues les lampes du sanctuaire destinées à donner une lumière brillante et continuelle. Par ses deux oints, la plénitude de la lumière, de l’amour et de la puissance de Dieu est communiquée aux fidèles pour qu’ils puissent en faire part à d’autres. Ayant été ainsi enrichis, ils doivent enrichir leurs semblables par l’inestimable trésor de l’amour divin » (Prophètes et Rois, p. 452).

« Ces deux conduits d’or se déversent dans les vases d’or, représentant le cœur des messagers vivants de Dieu qui portent la Parole du Seigneur au peuple, sous formes de mises en garde et de supplications. La Parole même, représentée par cette huile dorée, doit s’écouler des deux oliviers qui sont aux côtés du Seigneur de toute la terre. C’est le baptême du feu par le Saint Esprit » (SDA Bible Commentary, vol. 4, p. 1180).

« Lisez et étudiez le quatrième chapitre de Zacharie. Les deux oliviers déversent leur huile dorée par des conduits d’or dans le vase d’or alimentant les lampes du sanctuaire. L’huile dorée représente le Saint Esprit. Les pasteurs de Dieu doivent faire provision de cette huile en permanence afin qu’à leur tour ils puissent en faire bénéficier l’église. “Ce n’est ni pas la puissance ni par la force, mais c’est par mon Esprit, dit l’Eternel des armées.” Les serviteurs de Dieu peuvent remporter des victoires uniquement par la grâce intérieure, par un cœur pur et la sainteté. — The Review and Herald, 22 décembre 1904 » (Testimonies to Ministers and Gospel Workers, p. 188).

« La communication continuelle de l’Esprit Saint à l’église est représentée par le prophète Zacharie sous une autre image, contenant une merveilleuse leçon d’encouragement pour nous. Le prophète dit : “ L’ange qui me parlait revint, et il me réveilla comme un homme que l’on réveille de son sommeil. Il me dit : Que vois-tu ? Je répondis : Je regarde, et voici, il y a un chandelier tout en or, surmonté d’un vase et portant sept lampes avec sept conduits pour les lampes, qui sont au sommet du chandelier ; et il y a près de lui deux oliviers, l’un à la droite du vase, et l’autre à sa gauche. Et reprenant la parole, je dis à l’ange qui me parlait : Que signifient ces choses, mon seigneur ? L’ange […] me dit : c’est ici la parole que l’Eternel adresse à Zorobabel : Ce n’est ni par la puissance ni par la force, mais c’est par mon Esprit, dit l’Eternel des armées… Je pris une seconde fois la parole, et je lui dit : Que signifient les deux rameaux d’olivier, qui sont près des deux conduits d’or d’où découle l’huile dorée ? … Et il dit : Ce sont les deux oints qui se tiennent devant le Seigneur de toute la terre.”

         « A partir des deux oliviers, l’huile dorée s’écoulait dans les conduits d’or jusqu’au vase du chandelier et de là se répandait dans les lampes d’or qui éclairaient le sanctuaire. C’est ainsi que par le canal des êtres saints qui se tiennent dans la présence de Dieu, Son Esprit est imparti aux instruments humains consacrés à son service. La mission des deux oints est de communiquer au peuple de Dieu lumière et puissance. Ils se tiennent en présence de Dieu afin de recevoir des bénédictions dont nous serons les bénéficiaires. De même que les oliviers se vident dans les conduits d’or, les messagers célestes cherchent à communiquer tout ce qu’ils reçoivent de la part de Dieu. Tous les trésors contenus dans les cieux attendent que nous les demandions et les recevions ; et, à mesure que nous recevons la bénédiction, nous devons la transmettre à notre tour. C’est ainsi que les saintes lampes se remplissent, et que l’église devient un porte-lumière dans le monde » (Idem., p. 510).

« Christ “a aimé l’église et s’est livré lui-même pour elle.” Il l’a rachetée par Son sang. Le divin Fils de Dieu marche au milieu des sept chandeliers. Jésus Lui-même pourvoit à l’huile pour ces lampes qui brûlent. Lui-même les allume. “En [lui] était la vie, et la vie était la lumière des hommes.”

         « Aucun chandelier ne brille de lui-même, ni aucune église. Toute lumière émane de Christ. L’église dans le ciel aujourd’hui n’est que le complément de l’église sur la terre ; mais elle est plus excellente, plus grandiose ­— parfaite. La même splendeur divine doit subsister à travers tous les âges. Le Seigneur Dieu Tout Puissant et l’Agneau en sont la lumière. Aucune église ne peut avoir de lumière si elle ne répand pas la gloire qu’elle reçoit du trône de Dieu (MS 1a, 1890) » (SDA Bible Commentary, vol. 6, p. 1118).

« En lui était la vie ; et la vie était la lumière des hommes. Et la lumière luit dans les ténèbres ; et les ténèbres ne la comprirent pas » (Jean 1 : 4, 5, KJV).

« Jésus leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie... Jésus dit ces paroles, enseignant dans le temple, au lieu où était le trésor » (Jean 8 : 12, 20).

« Pendant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde » (Jean 9 : 5).

« “Jésus leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.”

         « Lorsqu’Il prononça ces paroles, Jésus était dans la cour du temple où se déroulaient les services de la Fête des Tabernacles. Au centre de cette cour se dressaient deux grands montants auxquels étaient suspendus des pieds de lampe de grandes dimensions. A la suite du sacrifice du soir, toutes les lampes étaient allumées et projetaient leur lumière sur la ville de Jérusalem. Cette cérémonie avait pour but de commémorer la colonne de lumière qui guidait Israël au désert, et on la considérait également comme préfigurant la venue du Messie. Lorsque, le soir étant venu, les lampes étaient allumées, la cour devenait le théâtre d’une grande réjouissance. Des hommes aux cheveux gris, les prêtres du temple et les chefs de la nation, s’unissaient dans des danses festives au son d’instruments de musique accompagnant les chants des lévites.

         « Par cette illumination de Jérusalem, le peuple exprimait son espoir que le Messie viendrait répandre Sa lumière sur Israël. Mais aux yeux de Jésus la scène revêtait une plus grande signification. De même que les brillantes lampes du temple éclairaient tout l’entourage, Christ, la source de la lumière spirituelle, dissipe les ténèbres du monde. Cependant, le symbole était imparfait. Le grand luminaire que Sa propre main avait  placé dans les cieux était une meilleure représentation de la gloire de Sa mission.

         « Le matin était venu ; le soleil venait de se lever sur le Mont des Oliviers et ses rayons tombaient en lumière éclatante sur les palais de marbre et faisaient étinceler l’or des murailles du temple lorsque Jésus s’écria, appelant l’attention sur cette scène : ‘Je suis la lumière du monde’.

         « Longtemps après, un témoin de cette scène qui avait entendu ces paroles devait s’en faire l’écho dans ce passage sublime : “En Lui était la vie ; et la vie était la lumière des hommes. Et la lumière luit dans les ténèbres ; et les ténèbres ne l’ont pas accueillie.” “C’était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme.” (Jean 1 : 4, 5, 9) » (The Desire of Ages, p. 463).